Archives mensuelles : février 2018

Les chatons découvrent le monde…

Les chatons découvrent le monde. A travers la fenêtre, ils regardent, ils observent. Ils sont encore trop petits, ils ne sont pas autorisés à aller dehors.

Alors, ils passent du temps devant la fenêtre. Ils voient la neige et ses flocons, la pluie et ses gouttes qui s’écrasent sur la vitre, les oiseaux qui s’approchent, les mouches , les papillons, plus loin le bassin , les buissons… Ils auraient envie d’aller dans le jardin, de découvrir le monde.

Les chatons ont envie de quitter le confort de la maison, de partir à la découverte, de faire de nouvelles expériences. Bientôt? peut-être! Il faut attendre le printemps, a dit leur maîtresse.

Et le printemps, c’est bientôt?

Des roses en hiver, du bonheur!

Des roses en hiver, c’est du bonheur, c’est toujours magique, c’est de la joie qui entre dans la maison.

Il y a le vase, posé sur la table ou sur le coin du buffet.  Il y a aussi les ouvrages que l’on crée au hasard des tissus qu’on rencontre.

Dans un lot de tissus précieux, j’ai trouvé des imprimés, dont un avec des roses. Ces roses m’ont inspiré ce tableau.

Sur un feutre de laine grise, j’ai appliqué des rectangles découpés dans les coupons proposés. Puis, j’ai brodé et couché des fils tout autour. Il fallait que cela tienne!!!  Un joli encadrement argenté a donné la touche finale. J’adore cet ouvrage!

C’est toujours un peu compliqué de travailler avec des tissus précieux. Ils glissent, ils n’ont pas de tenue. Mais il faut persévérer, et des ouvrages magnifiques apparaissent sous nos mains. Et un ouvrage que l’on aime, c’est du bonheur toute l’année!

 

Un invité de marque au restaurant du jardin.

Un invité de marque s’est invité depuis quelques jours au restaurant du jardin. Au milieu des mésanges, des merles et des rouges-gorges, il vient picorer dans les boules de graisse.

Un pic épeiche a pris l’habitude de venir manger. Il s’installe, lui d’habitude si craintif. C’est le miracle des jours de neige. Observer les oiseaux est plus facile, les photographier aussi.

La neige fondra, et les oiseaux viendront encore picorer les boules de graisse mais le pic épeiche ne s’attardera plus.

Le jardin de Marie-Rose.

Le jardin de Marie-Rose, c’était celui de ma grand-mère. Il était minuscule, on pouvait à peine y entrer, il n’était pas très accueillant, les plantes avaient des piquants, il ne fallait surtout pas y toucher. Et pourtant, que de souvenirs près de ce jardin !

Pour utiliser un fond de crazy que j’avais cousu comme essai d’une nouvelle technique, j’ai imaginé un jardin, tout petit comme celui de Marie-Rose. Quelques formes de tissu,  du  piqué libre,de la broderie, et des fleurs  sont apparues.

Ce jardin n’est pas celui de ma grand-mère. Il ne lui ressemble en rien, peut-être les couleurs et encore. Mais son ambiance  est la même!