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Se souvenir de l’année passée. (3)

Il est temps de se souvenir de l’année passée, de ce qui a eu lieu depuis l’été dernier.  Que de bons moments à partager! Les paysages me restent souvent dans la tête. J’aime retrouver leurs couleurs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Marcher, se promener, flâner sont des occupations qui nourrissent mon imagination. Je ne me lasse pas de regarder autour de moi.

Des vacances au bord de la mer!

Des vacances au bord de la mer en été, j’avais oublié que c’était si agréable. Retrouver les plaisirs de la plage, les marées, la baignade, les châteaux de sable et les promenades le soir sur le sentier côtier, c’est un vrai bonheur!

C’était la semaine dernière, à Saint Philibert dans le Morbihan.Cela faisait très longtemps que nous n’étions pas allés au bord de la mer en été pendant une semaine. Le soleil était au rendez-vous, nous en avons bien profité.

Nous sommes de retour en Eure et Loir. La moisson se termine, la plaine est presque vide. Comme partout, il fait très chaud. Nous retrouvons notre jardin. Les vacances au bord de la mer sont maintenant des agréables souvenirs.

Le chemin de Stevenson, une belle aventure!

Le chemin de Stevenson, c’est une belle aventure! C’est vivre hors du temps, marcher , passer de montagne en montagne, découvrir des paysages étonnants.

C’est un long chemin où chaque journée est unique. C’est profiter de  l’instant présent,  c’est aller vers l’inconnu tout doucement au rythme de nos pas.

Marcher 11 jours, parcourir les 250 kilomètres du Puy en Velay à Saint Jean du Gard à pied, c’était un défi. C’est un chemin parfois difficile, ça monte, ça descend, ça n’en finit pas, il fait chaud. Qu’importe, l’important est d’arriver le soir à l’étape. Une douche, un bon repas, une nuit de sommeil et ça repart le lendemain pour d’autres découvertes, d’autres paysages, d’autres rencontres.

La montée sur  le Mont Lozère a été un moment fort de cette randonnée. Cette montagne est si belle, si sauvage. Il faisait beau, pas trop chaud, pas trop de vent. Ce fut des instants  magiques.

Je ne saurai vous raconter mon voyage. Trop d’images et d’émotions me restent dans la tête. Je dirai seulement:” Le chemin de Stevenson fut une belle aventure et je suis heureuse de l’avoir vécue pleinement.”

 

Le coq de la cabane.

Le coq de la cabane de notre voisin est magnifique. Il trône sur le toit, il se laisse regarder. Il ne chante pas, un autre s’en charge. Il donne de la vie au jardin.

En se promenant dans notre jardin, on découvre une cloche en verre coloré plantée dans un parterre de fleurs, des nichoirs en osier accrochés dans les arbres, un joli pot tout rouge où pousse de la menthe.

Le coq de la cabane de notre voisin fait partie des choses que j’aime retrouver. Il est devenu incontournable. S’il n’était plus là, le jardin ne serait plus le même.

Collonges-la-Rouge, du rouge et du vert!

Collonges-la-Rouge, du rouge et du vert, de la vigne, des roses qui couvrent  les murs, des souvenirs à garder précieusement.

Les noyeraies, les jardins d’Eyrignac, les chèvres angora, les oies, la cascade d’Autoire, le village de Curemonte, le château de Turenne et bien sûr Collonges-la-Rouge ont été des découvertes bien agréables lors de notre séjour en Corrèze.

Moi, j’ai été fascinée par la couleur des murs, si rouge et celle de la végétation qui poussait dessus.  J”ai une préférence pour la vigne, tellement verte en cette saison.

 

Nantes, la ville de mon enfance.

Nantes, c’est la ville de mon enfance. Bien sûr, tout a changé mais au détour d’une rue, d’un square, d’un jardin, mes souvenirs de petite fille reviennent.

Se promener dans le centre-ville, retrouver le château des Ducs de Bretagne, la place Royale, le cours Saint-Pierre et sa fête foraine, les rues étroites, la Loire, c’est un bonheur.

Pourtant, je n’y vis pas depuis de nombreuses années. Mais Nantes reste dans mon cœur comme un trésor et j’y reviens avec plaisir.

De plus, c’était le salon ” Pour l’amour du fil”, je me devais d’y aller. Pour profiter des expositions et faire quelques achats, c’était l’endroit idéal. Le visiter avec Dominique, mon amie depuis le lycée, retrouver Christine pour échanger quelques mots “en vrai”, faire connaissance de Chantal Guillermet, c’étaient des plus qu’il ne fallait pas rater.

J’ai retrouvé ma maison, dans la campagne beauceronne. Je m’y sens bien. La ville, maintenant c’est juste pour le plaisir de se promener.

Un bourgeon de marronnier, c’est magique!

Observer un bourgeon de marronnier au printemps, c’est magique. D’abord, c’est tout petit, puis,  doucement, lentement, il grossit, grossit. Les écailles s’écartent et  une feuille toute recroquevillée  commence à s’étaler au soleil.

C’est tous les ans la même chose, la même magie, le même étonnement. Je ne m’en lasse pas. Cette année encore, je guettais le marronnier. Les feuilles pointent le bout de leur nez. Assurément, nous avons changé de saison, le printemps est là!

Derrière une porte, il y a un monde à découvrir.

Derrière une porte, il y a un monde à découvrir. Il suffit d’ouvrir une porte, un portail ou un portillon et c’est une aventure qui peut commencer.

Entrer dans une maison, un château ou une cabane, c’est s’imprégner de l’endroit, de son ambiance, c’est apprendre à connaître ceux qui y habitent.

Passer le portillon d’un jardin, c’est entrer dans l’univers de celui qui s’en occupe. Souvent, il peut vous en parler des heures.

Ce portillon est dans le marais de Bourges, il a dû garder un jardin. Aujourd’hui, il est sur le bord du chemin, le terrain est en broussailles mais il est là, avec ses couleurs délavées. Il raconte une histoire.

Derrière une porte, il y a toujours un monde à découvrir. Il suffit d’oser la pousser, d’entrer. L’aventure commence souvent là.

Couleurs du marais de Bourges en hiver.

Les couleurs du marais de Bourges sont étonnantes. Tout est calme, l’eau plutôt grise, les arbres aussi. Au détour du chemin, nous découvrons une explosion de couleurs vives, un vrai bonheur au cœur de l’hiver.

Un pré vert fluo, une haie des saules aux branches orange, le spectacle est là. Nous oublions l’hiver, le froid, le vent et la pluie, le chemin un peu boueux. Rien que pour ce moment, il fallait aller à Bourges en décembre.

Le marais de Bourges est  tout près de l’agitation de la ville et pourtant, s’y promener, c’est  étonnant, si calme. il y a tant de choses à regarder, à apprécier, une barque, un vieux portail, les cabanes entourées de leur jardin, les haies si belles, si colorées parfois.

Les couleurs du marais de Bourges resteront dans ma mémoire longtemps. Ce fut une jolie découverte.

 

Un marais dans la ville, Bourges!

Un marais dans la ville, tout près du centre-ville, c’est en visitant Bourges un week-end de décembre que nous avons découvert cet endroit.

Il y avait peu de monde dans le marais, le temps n’était pas vraiment à la promenade mais il ne pleuvait pas. Des canaux, des plantes, des arbres, quelques cabanes, des sentiers, une barque attachée à son ponton, la cathédrale au loin, il y avait tant de choses à regarder.

C’est une bulle dans la ville, un endroit magique. S’enfoncer dans le marais, suivre les sentiers, s’arrêter pour regarder tout autour, sentir la ville si près et ne pas entendre son agitation, tout était étonnement. La nature semblait si proche. Un marais dans la ville, c’est un moment inoubliable, une parenthèse enchantée.

S’évader du quotidien, prendre le temps de s’émerveiller, découvrir une ville, un lieu sera une idée à retenir. Bourges était notre première escapade, il y en aura d’autres…